Belgique
Le Centre d’information et d’avis sur les organisations sectaires nuisibles est né d’une loi du 2 juin 1998.
Ce Centre, qui est un service public, est devenu une référence belge mais aussi internationale, en la matière.
Il est consulté par le public, mais également par les autorités civiles. Il dispose de la bibliothèque la mieux fournie sur le sujet, au niveau européen. Elle est accessible à tous (sur rendez-vous).
France
La “Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires” partage avec le CIAOSN belge d’être l’émanation d’un Etat.
Elle observe et analyse le phénomène sectaire, coordonne l’action préventive et répressive des pouvoirs publics à l’encontre des dérives sectaires et informe le public sur les dangers auxquels il est exposé. Elle n’a jamais négligé son voisin belge, ni dans ses études, ni dans ses relations.
France
L’Union nationale des associations de défense des familles et de l’individu victimes de sectes est l’un des plus anciens acteurs européens dans la lutte contre les organisations sectaires nuisibles.
Ses domaines d’action vont de l’étude des principes et méthodes des organisations de type sectaire à l’accueil ainsi qu’à l’aide aux familles et aux personnes victimes de ces organisations, en passant par l’information du public.
Europe
La “Fédération européenne des centres de recherche et d’information sur le sectarisme” est sans doute la plus vaste des organisations privées s’intéressant au phénomène des sectes.
Elle entretient des relations dépassant même le cadre strictement européen.
Elle tient d’ailleurs un colloque international sur base annuelle.
La Fecris, une ONG à statut consultatif spécial du Conseil économique et social des Nations Unies depuis 2009, regroupe des sensibilités variées.